Communiqué de presse : Kim Clijsters lance Pablo

Bree, 9 février 2022 – Pablo a été lancé aujourd'hui dans le club de padel 'De Boneput’, au sein du Kim Clijsters Sports & Health Club. Les quatre courts extérieurs ont tous été équipés d'une borne Pablo, une solution matérielle et logicielle de contrôle d'accès par reconnaissance faciale. ​ Objectif: éviter l'utilisation non autorisée des terrains par des joueurs non-inscrits et ainsi permettre aux terrains de padel d'être plus accessibles aux (non-)membres qui sont quant à eux dûment inscrits. Brahim Boulbahaiem, le créateur et principal actionnaire de Pablo, et Kim Clijsters, co-actionnaire, veulent étendre les activités de la start-up à d'autres domaines sportifs.

Année après année, le padel gagne en popularité. En 2020, la Wallonie ne comptait encore que 124 courts de padel. Fin 2021, ce chiffre avait déjà atteint la barre des 250 terrains. La demande pour des courts de padel est énorme: la plupart d'entre eux sont occupés toute la journée et en soirée.

Mais cette popularité génère malheureusement des problèmes. Quel joueur de padel n'a par exemple jamais vécu cette situation: après avoir accompli toutes les démarches nécessaires à la réservation d'un terrain de padel, vous découvrez à votre arrivée qu'aucun n'est disponible. Tout simplement parce que "le vôtre" est occupé par des utilisateurs non-inscrits. Une enquête conduite par Pablo auprès de clubs de padel montre que les utilisateurs non payants représentent pas moins de 30% du total des utilisateurs. La start-up veut corriger cette situation.

Comment fonctionne Pablo?

Avant de pénétrer sur le court, les joueurs doivent s'enregistrer auprès de la borne Pablo. Grâce à la reconnaissance faciale ou sur présentation de leur carte d'identité devant la caméra, Pablo contrôle si les joueurs ont effectué leur réservation via leur système de réservation habituel.

Les joueurs non enregistrés auprès de Pablo et qui pénétreraient néanmoins sur le terrain seront invités à s'inscrire par les haut-parleurs de la borne Pablo. S'ils n'ont pas de réservation et que le court est disponible, ils pourront toujours effectuer la réservation avec leur outil habituel et s'inscrire via la borne Pablo.
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​Les non-membres du club qui entreraient sur le court sans réservation ni inscription se verront également interpellés par ce message audio. S'ils ignorent l'avertissement, ils seront filmés et le responsable du club recevra un message avec un lien lui permettant de voir qui est en infraction. À lui, ensuite, de gérer la situation à sa guise.

Pour chaque terrain de padel, de 2.000 à 6.000 euros de chiffre d'affaires supplémentaire par an

Pablo a été créée par l'entrepreneur limbourgeois - et passionné de padel - Brahim Boulbahaiem qui a fait ses armes dans le secteur automobile et a notamment créé la société de contrôle de qualité 4-CE.

« Avec Pablo, nous voulons lutter contre l'utilisation abusive des courts de padel. Parallèlement, nous voulons mettre fin à la frustration des joueurs dûment inscrits, qui voient des non-membres jouer ​ gratuitement sur l'un des terrains. La solution offre davantage d'opportunités de jeu pour les membres du club, mais elle assure également plus de chiffre d'affaires pour le club. Sur une année, cela peut lui apporter environ 2.000 à 6.000 euros supplémentaires pour chaque terrain », explique Brahim Boulbahaiem, actionnaire principal et PDG de Pablo.

Co-actionnaire de Pablo, Kim Clijsters a mis son club de padel à disposition afin de tester et de mettre au point le système Pablo. Au terme d'une phase d'essai réussie, la solution matérielle et logicielle de contrôle d'accès est mise en service aujourd'hui pour la première fois.

Confrontée elle-même à l'utilisation non autorisée des courts de padel au sein de son club, Kim Clijsters a immédiatement été convaincue par la technologie de reconnaissance faciale unique de Pablo. Elle a donc rapidement décidé d'investir dans la start-up.

« J'entendais de plus en plus souvent des amis me dire que des joueurs non payants occupaient un terrain de padel. Et cela, alors que ces amis, membres enregistrés, ne pouvaient pas jouer. Le contrôle de l'utilisation des terrains de padel grâce à Pablo est la solution à cette situation frustrante. Elle veille en outre à ce que les clubs de padel n'ont plus à envoyer quelqu'un sur le court pour contrôler les joueurs », déclare Kim Clijsters, co-actionnaire de Pablo.

Autre avantage pour les clubs de padel: l'investissement - sous la forme d'un loyer mensuel - ne leur coûte presque rien, car il est immédiatement récupéré par le placement des bornes Pablo.

« Qu'adviendra-t-il du padel, une fois passé le buzz actuel? Nous n'en sommes qu'au début. »

Les ambitions autour de Pablo sont grandes. D'ici la fin 2022, les bornes Pablo devraient trouver leur place sur au moins 100 terrains de sports en Belgique, chez nos voisins et dans les ‘pays du padel' comme l'Espagne ou la Suède.

Tant Brahim Boulbahaiem que Kim Clijsters sont convaincus que le nombre de joueurs de padel - et donc aussi de terrains - va encore fortement augmenter au cours des prochaines années. De plus en plus de jeunes et d'enfants découvrent ce sport.

« Le padel a le potentiel pour attirer un public encore bien plus important. La particularité de ce sport, c'est de permettre à des joueurs de niveaux différents de s'offrir un chouette match. C'est un sport qui peut être rapidement maîtrisé. Et comme les terrains sont plus petits, le padel est physiquement moins éprouvant que le tennis, par exemple. Et, souvent, les jeunes générations ont découvert le padel durant des camps d'été », ajoute Kim Clijsters.

En outre, la croissance de Pablo ne dépendra pas uniquement de la popularité du padel. « Il n'y a pas que les terrains de padel qui doivent être envisagés. Pour les courts de tennis ou les clubs de fitness aussi, Pablo peut apporter une solution afin d'empêcher une utilisation non autorisée », ​ conclut Brahim Boulbahaiem.

Pour plus d'informations sur Pablo, consultez le site web.

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